Comme si le fait d'aller en cours n'était pas suffisant pour moi, il fallait que je sois en plus de cela séparer d'Alice car à cet heure-ci, moi et ma belle ne partagions pas le même cours. Je soupira tout en posant mon sac sur la table alors que mon cours d'histoire allait commencer. Je détestais vraiment le lycée plus que tout au monde, enfin presque. Le pire pour moi, c'était que j'étais au milieu de tant d'adolescents seul. On ne pouvait pas dire que j'étais vraiment le vampire capable de se contrôler au milieu de tant d'âmes qui me suppliait de les tuer. J'en grogna doucement, c'était en partie pour cela que je voulais toujours Alice à mes côtés. Avec elle, j'étais certain de ne rien tenter. J'enlevai mon manteau tout en ne souhaitant qu'une seule et unique chose, le remettre et repartir. J'étais assis vers le fond, c'était toujours plus discret et plus pratique pour ce que tout les Cullen séparés faisaient durant les cours.

En effet, après avoir sorti mon cahier, ma trousse, chose que je faisais déjà depuis bien trop longtemps à mon goût, je sortis mon téléphone portable de ma poche. Je commença à écrire un message adressé à ma femme lorsque le professeur m'appela. Évidemment il faisait l'appel, je leva ma main ainsi que mes yeux de mon téléphone. Je vis le professeur acquiescer mais aussi les jeunes femmes de la classe retourner vers moi à.. m'admirer ? Oui c'était peut être ça le mot, elles étaient désespérantes ses humaines, je m'en lassais déjà. Je reposa mes yeux sur mon portable, un peu gêné par les regards des jeunes femmes.

« Mon amour, je crois bien que tu as de la concurrence. »

J'envoya le message et je ne fût pas surpis de voir que la réponse d'Alice n'avait rien de joyeuse. Enfin si elle était amusante mais elle montrait surtout sa colère. J'en riais en silence pour ne pas attirer l'attention du professeur. D'ailleurs je repartis dans mes pensées, oubliant le portable que je tenais dans la main ainsi que les choses que disait le professeur sur une certain Napoléon Bonaparte. Je repenssai à la première fois où j'avais rencontrée Alice, dans ce wagon-restaurant où elle m'attendait sans que je ne le saches, je me souviens que c'était la première fois que j'avais crû en quelque chose, en elle. Alice était mon espérance, elle était la femme que j'avais épousé et rah qu'est-ce que j'en étais fière. Je repensa aussi à la magnifique nuit qu'elle m'avait offerte la nuit précédente. J'avais conscience que penser à ça en cours, n'était pas la meilleure et la plus intelligente des choses pourtant j'étais un homme et personne n'allait me changer. Je fus tirer de mes pensées par mon portable qui vibrait, c'était Alice qui s'impatientait ou qui s'inquiétait peut être, elle pensait sûrement que j'avais déjà massacrer toute la classe. Je soupira et lui répondis.

« Mais non, tu es la seule que j'aime. Je n'en ai rien à faire d'elles, elles fantasment sur moi parce que je suis un vampire, c'est tout. Et puis elles ne sont pas aussi douées que mon petit lutin au lit.. »

Je leva les yeux au ciel et j'envoya le message. Je savais qu'elle était en contrôle de français que j'allais la déconcentrer. Je me dépêcha donc de taper un second message pour me rattraper.

« Cite les liaisons dangereuses dans ta dissertation, ça te rapportera des points. Enfin si tu ne l'a pas oubliée. »

Alice avait prédit son sujet de dissertation et nous l'avions préparer à l'avance. L'aider peut être rattraperait mon erreur.