Sublime [PV Jacob]

Ah alors la bravo, oh oui bravo. Mais c’est quoi mon problème ? Comment je fait pour être si gaffeuse ? À se que je voit, la vie ne ma pas réussis coté chance. J’attire vraiment trop la poisse, en plus, je suis cruche. Comment j’ai pût dire non à cet homme ? O_O Je suis folle où quoi ? Mais qu’es qui m’a prit, j’aurait dût dire oui, j’aurait dû. Un homme si beau, si grand, si fort à en faire baver n’importe qu’elle fille, il me demande à sortire, à moi, une fille très très banal qui n’a rien pour plaire et j’ose lui dire non. Olala, je me décourage moi même. Mais bon c’est fait c’est fait, je ne peut pas revenir en arrière.

J’était sur la plage de La Push et je me remémorait se qui c’était passer au petit restaurent du coin tôt se matin. Quand un garçons hyper mignon m’avais demander de sortir au cinéma et que moi, la tarte, avait refuser. Je marchait dans le sable noir qui composait le paysage magnifique de la plage. Le bruit des vague frappant les rochers venait à mes oreilles. Je regardait le ciel bleu argenté, il ne faisait pas très beau, comme toujours d’ailleurs. Je me sentait étrangement seule, mais aimait la sensation relaxante. Le doux vent frappait mon visage maquiller en fonction de mes vêtements du jour. Un chandail mauve un peu décolletée et mes pantalons noir. Je portait également des bracelets et un collier assortit. J’avait mit aujourd’hui mes bottes noir à talon haut, pas la meilleur idée pour allez à la plage, mais bon, comme on le sait, moi et les idées intelligente, c’est deux.

Je ne faisait pas attention à où je marchait, j’aurait pourtant dû. C’est alors que, au moment où je m’en attendait le moins, trébucha sur une branche. Cependant, je ne tomba face première sur le sol, mais bien sur les fesses. Je soupira les yeux en l’air avant de rire. Fallait bien s’en attendre avec moi, j’attire la mal chance. Je resta un instant assise, avant de me lever en frottant de mes mains le sable qui y avait sur mes pantalons.

Après une demi heure que je marchait sur la plage, j’en avait marre, j’avait envie de visiter d’autre endroits de La Push. J’était nouvelle à Forks et par conséquent ne connaissait pas grand choses. J’attrapa le volant de ma voiture, et commença à conduire un peu n’importe où et n’importe comment. Et oui, moi au volant d’un véhicule égale un vrai danger publique. Peut importe, je roulait, sans le s’avoir, vers les falaise. En moins d’une second, un animal sortit de la forêt juste devant ma voiture, je freina avec violence et tourna le volant pour éviter l’animal. Quand je porta mon regard devant, il n’était plus là, il dû avoir eu peur et s’enfuire. J’était heureuse, je l’avait éviter, à moins que se ne soit lui qui m’aille éviter, j’en n’était pas certaine.

Quand je stationna mon auto et en sortit, le paysage qui s’offrait à moi était tout simplement magnifique. Le bruit des ruisseaux coulant, le chants des oiseaux présent dans la forêt tout près, j’ignorait si j’avait droit où non d’être ici, mais sa m’était totalement égale. L’endroit était sublime, j’était d’ailleurs contente d’être venue seule, cela ma procurait du silence bien appréciez, bien que je sois une personne très bavarde. C’était simplement trop beau pour que je souhaite un jours repartir. Ici, tout me semblait simple et dépourvue de complexité. C’était décider, j’allait venir dans les falaises pour réfléchir. Bien que l’endroit sois situer très haut, je n’avait pas peur des hauteurs (c’est bien la seule affaire qu’a la pas peur xD).

Je respirait l’air, calme et sereine tout en réfléchissant à mon colocataire, Seth Clearwater. Pourquoi devait t-il s’absenter tard le soir ou encore pourquoi la température de son corps était t’elle si bouillante ? Des question dont je n’obtiendrait jamais la réponse, néanmoins, cela ne m’intriguait pas plus que ça. Je suis normalement plus que curieuse mais là, on dirait simplement que j’essayait de me protégé inconsciemment d’une réponse qui deviendrait un danger pour moi. (Et oui, Vicky à peur de tout, y comprit des loup garou, même si elle ne connaît pas encore leurs existences xD). Enfin bref, mon regard était perdu dans mes réflexions. C’est alors que je repensa à l’homme qui m’avait demander de sortir se matin, mais qu’avait t-il bien pût me trouver ? Les filles sont si belle à Forks que je ne sait même pas se que je fait ici, ma place n’est certainement pas parmi eux.

[Désolée, j'ai fait cour Et personellement, je le trouve pas très réussit ]

Il était dans les environs de 10h00/11h00 lorsque je me réveillai. Malgré que je me sois levé tard, j’étais encore aussi fatiguer que la veille lorsque je m’étais couché. Les yeux à demi ouvert, j’étais coucher sur le dos et regardai le plafond. Après quelques minutes à ne pas avoir bougé, je décidai enfin de me lever. Je me levai avec difficulté de mon lit. Mais qu’avais-je fais hier pour être dans cette état ? Aucune idée, le blanc total. Je ne me posai pas plus de questions, hier était hier et aujourd’hui était un nouveau jour. Mon dieu, me voila qui parlaient comme mon père ! Je secouai la tête à cette idée. J’étais vraiment tombé bas pour commencer à parler comme lui…

Après mettre préparer, j’étais descendus dans la cuisine pour bouffer quelque chose quoi. Je fouillais désespérément dans le garde-manger à la recherche de quelque chose. Mais il y avait rien ! Tout cas rien pour remplir mon estomac de Loup-garou.

- Pa’ ! Ta rien acheté !? Tu veux que je grève ou quoi !?

Je restai planter sur place devant le garde-manger mains sur les hanches en attente d’une certaine réponse de sa part. Mais rien, aucune réponse de la part de mon père. Je décidais donc de faire le tour de la maison pour voir ou il était. J’étais allé a regarder jusqu’à dans mon garage. Mais en vint rien, mon père n’était pas a la maison. Il avait le don de me délaisser celui là ! Oui, voila ce que j’étais ; un enfant délaisser par son vieux père. Mais bon, je ne devais pas chialer sur ca, je n’étais pas mieux moi. Et oui, j’étais rarement à la maison, depuis quelque temps. J’étais la plupart de mon temps entrain de roder dans la forêt dans ma peau de loup. Je fini tout de même par me faire un bol de céréales minable.

Après avoir mangé, d’après moi à peine, je décidais d’aller bricoler un peu dans mon garage. Cela faisait un bon bout de temps que je n’y étais pas allé… J’étais assis depuis un bon moment sur un bout de ma moto à ne rien faire. Le garage ressemblait tellement vide sans Bella… Puis, après quelques minutes à me remémorer les bons moments, je me levai et commença à bricoler. Cela n’avait même pas fait 1 heure encore que j’étais déjà tanner de bricoler après des engins minable… Et oui, on dirait que ma passion a disparu… Pourtant depuis tout petit j’adorais faire cela… Mais j’avoue que depuis quelque temps j’étais « Down »… Je commençais trouver le temps long, dans le garage. Alors, je décidais d’aller faire une petite promenade dans la forêt dans ma peau de loup. Je pris soin d’enlever mes vêtements avant de me transformer.

Cela faisait un bon bout de temps que je courais dans la forêt. J’essayais de ne penser à rien, pour ne pas déranger les autres… Après quelques minutes j’entendis le bruit des vagues qui se fracassaient contre les rochers. Je devais, surement, être aux falaises. Toujours dans la forêt, je repris ma forme humaine et pris soin, cette fois-ci, de remettre mes vêtements.

Je sortis, enfin, de la forêt pour plus m’approcher des falaises. Je n’étais que vêtus d’une simple camisole blanche, d’un jean troué avec une serviette souiller –qui servait à nettoyer les endroits rouiller d’une moto- dans une de mes poches arrière de mon jean. Je marchais d’un pas lourd et lent, les mains dans les poches. Je décidais soudain, sans aucune raison, de m’assoir sur le sol. Je penchais le buste vers l’arrière pour pouvoir m’accoter sur mes coudes. Je repensais aux moments passé avec Bella…

Soudain je fus porter à tourner ma tête vers le coter et a mon plus grand étonnement, j’aperçue une jeune fille qui marchait un peu plus loin. Je ne voyais pas son visage, d’où j’étais. Peut-être était-elle perdue ? De toute façon cela n’étais pas mon problème… Mais même si cela ne me concernais pas une force surnaturelle me poussais à aller la voir… Comme si j’étais attiré par elle…

J’avais commencé à avancer vers elle. Puis, je pu enfin apercevoir son visage… Lorsque j’aperçue son visage, tout mes soucis semblais avoir disparut… Je me sentais tellement bien… Comme si je flottais sur un nuage… Elle était tellement belle… J’avais accélérer mon allure. J’étais désormais en face d’elle. Je me sentais comme lorsque j’étais avec Bella… Je secouais la tête à cette idée. C’était impossible, je ne la connaissais même pas ! Je connaissais juste une explication a ce problème ; l’imprégnation… Non. Quoi ? Cela pouvait arriver à tout moment ? Cela faisait un bon moment que j’étais planté devant elle à l’observer et à ne rien dire… J’ouvris la bouche a plusieurs reprise mais aucun mots ne sortit…

*Aller Jake, elle va croire que tu es un attarder !*

Non, il ne fallait pas qu’elle pense cela… Je pris une grande inspiration et me lança.

- Salut, je ne t’ai jamais vue, dans le coin, auparavant. Tu es nouvelle ?

Un homme assez étrange je devait l’avouer, mais pourtant, charmant. Il me fixait sans mots dire. Avait t’il perdu la langue où quoi ? Ça faisait déjà quelques minutes et pourtant, aucun son ne se faisait entendre. Je commençait même à me demander si il ne venait pas de voir Dieu ou tout autre personnage aussi impressionnant, être si surprit en voyants une inconnue me paraissait bizarre. C’est alors qu’il se décida à parler, sa voix était jolie et je la préférait de loin au silence désagréable qu’il y avait eu plus tôt.

Hummm....

J’avait eu un moment d’hésitation, si sa se pouvait, il était peut-être dangereux. Mais bon, moi et mes peur sans raison pouvait aller voir ailleurs. Ne pas lui répondre aurait été dès plus impolie et mal élevé. Déjà qu’il semblait faire des efforts pour me parler, et bon, valait mieux ne pas répété les même erreurs que se matin, repousser tout les garçons qui m’approchait était stupide.

Oui je suis nouvelle à Fork, je m’appelle Vicky Elisabeth et toi ?

Je m’efforça de sourire en coin, gentiment, avant de replacé une mèche de mes cheveux, légèrement gêné en la présence de cet homme dont j’ignorait le nom. J’en profita alors pour le détailler des yeux, mais que faisait t-il uniquement vêtu d’une camisole? Décidément, c’était sûrement un Quileute, ils avaient tous le don de ne pas se vêtir ceux-là. À croire qu’ils n’ont jamais froid.

Je tourna gracieusement mon visage vers la droite, pour regarder l’horizon, du coup, j’avait peur qu’il soit venu pour m’avertir de ne pas traîner ici. Après tout, j’ignorait si c’était interdit où non, je ne connaissait pas les règles de la ville, encore moins de La Push. Si sa se trouvait, j’allait devoir repartire à ma plus grande déception, j’aimait déjà ces falaises. Elles m’apportaient beaucoup de calme relaxant pour que j’aille envie de quitter maintenant. Je stressais un peu, j’était décidément idiote, c’était quoi cette idée de venir m’aventurer dans un endroit que je ne connaissait nullement. J’aurait très bien pût tomber sur une bande de gars où pire encore, sur un ours affamé qui ne m’aurait pas laisser la chance de vivre plus longtemps. En y réfléchissant, j’attirait les risques au danger. Comment pouvais-je être aussi inconsciente ? À l’avenir, je devait me méfier d’avantage des choses. Ahhh, et puis à quoi bon me mentir à moi même. Je sait très bien que je n’en ferait pas un mot, j’irait là ou bon me semblera. Tempis si je meurs jeune, je l’aurait chercher. Après tout, c’est pas ma faute à moi non plus si je suis trop curieuse et du même coups si j’attire trop la poisse.

Il y a la fois où je suis aller en plein milieu de la rue et que cette voiture m’avait éviter de justesse, ma mère avait été folle de rage, elle m’avait pourtant dit de regarder des deux cotés avant de traverser, j’avait 8 ans. Il y aussi là fois où j’était simplement partit au dépanneur du coin et qu’il y avait eu cette bande de garçons qui m’avait suivie et presque violé…J’avait tellement eu peur que j’avait refuser d’aller au dépanneur pendant des mois. Là fois aussi où je suis rester prisonnière dans un vole de banque, j’était l’otage -_-‘ le fusil pointant ma tête et les policiers qui mettaient un temps fou avant d’arriver. Où quand j’avait été accuser de vandalisme et d’infraction alors que je ne faisait que marcher sur le trottoir, dormir trois nuit en prison pour quelque choses que je n’avais pas fait, c’était pas super. Où encore quand je m’était fait battre par deux garçons trop saoul. Enfin bon, et sa c’est même pas le quart de toute la me*de qui a pût m’arriver. Et je croit que c’était loin d’être terminer.

Je remarquais qu’elle hésita avant de me répondre. Avais-je dis quelque chose de mal ? Ou peut-être c’était ma question qui était suspecte… J’avoue que moi aussi, si quelqu’un que je ne connaissais pas venait me voir en me demandant ca, je trouverais cela suspecte… Mais même si elle hésita au début, elle me répondit quand même et en + elle me donna son nom ! Elle s’appelait Vicky Elisabeth… Vicky, jolie nom… Je la regardais toujours quand, soudain, je m’aperçue qu’elle m’avait demandée mon nom. Un sourire se dessina sur mes lèvres.

- Jacob, Jacob Black. Mais tu peux aussi m’appeler Jake.

Après m’être présenté, je me donnais quelques minutes pour l’examiner de la tête aux pieds. Elle était jolie, très jolie… Cela ne faisait que quelques minutes que j’étais en sa présence et je ne voulais déjà plus m’éloigner d’elle… Cela confirma alors tout. L’imprégnation existait pour vrai… Dire que moi je n’y croyais même pas ! Que je croyais que se n’était que des sottises inventer… Je m’étais trompé sur tout. Une peur me saisis soudain. Et si elle ne voulait pas de moi ? Et si elle ne me trouvait pas de son gout ? Je me causa la migraine à force de réfléchir ainsi. Mais je me rappelais que tout ceux qui c’étaient imprégné, la personne ne l’évitait pas. Non, au contraire elle sembla elle aussi attirer par l’autre. Cela, je dois l’avouer, me procura un énorme soulagement.

Je regardais autour pour voir si elle était avec quelqu’un. Mais rien, personne à l’horizon. Elle était nouvelle à Forks et elle était toute seule… Je fronçais les sourcils et pinça les lèvres, comme si j’étais entrain de résoudre un énorme calcul de mathématique. Avait-elle de la famille à Forks ? Si non, connaissait-elle quelqu’un qui habitait ici et qui pourrait l’aider ? Je secouais la tête. Mais pourquoi m’inquiétais-je autant pour elle ? Cela devait, surement, être un autre symptôme de l’imprégnation…

Je sortis de mes réflexions et rapporta mon attention sur Vicky. Devais-je lui proposer d’aller marcher ?, manger ? Ou peut-être lui montrer les environs ? Allait-elle au lycée de Forks ou de celui de La Push ? Et aussi, ou habitait-elle ?

*AHHH !!! Jake ! Mais arrête de te casser la tête avec ca et pose lui des questions bordel !*

Je voulais lui poser des questions… Mais j’avais peur qu’elle me trouve collant et que je n’aille plus de chances avec elle… Alors, je décidais de commencer avec elle celle qui me brûlait les lèvres de puis quelques minutes déjà. Après, j’allais peut-être lui en poser d’autre mais commençons par une…

- Alors Vicky. Tu a de la famille à Forks ? Ou tu connais peut-être quelqu’un qui habite dans le coin ?

Jacob, j’ignore pourquoi mais son nom m’accrocha. Était-ce un nom que je connaissait ou tout simplement un nom que j’admirait ? Je n’était cependant pas en mesure de s’avoir la réponse. Cela restait un mystère pour moi bien que je déteste les questions idiotes dépourvue de réponse. J’était quelque peu perdu dans mes rêveries alors que sa voix au ténor masculin m’extirpa de mes pensées.

Pour pouvoir affirmer que j’était venu ici à cause de la famille, il fallait premièrement en avoir une, et comme ce n’était pas mon cas, inutile de lui mentir. Il finirait toutefois par le s’avoir. Je ne connaissait nulle parenté ou ami(e)s dans le coin, j’était venu m’installer à Forks pour une raison que je ne divulguerai pas. Une raison intime que personne n’est en droit de s’avoir, du moins pas une personne que je venait à peine de rencontrer. Ce genre de secret, je le dirait uniquement à une personne que j’aimerait et en qui j’aurais une totale confiance, mon âme sœur par exemple, et comme je ne doute le trouver un jours, j’emporterait ce secret dans ma tombe. Après m’être plonger plus profondément dans mes réflexions pour trouver une raison potable de ma venu à Forks, je pensa à Seth Clearwater, je vivait avec lui alors pourquoi ne pas lui dire que j’avais rencontrer un Quileute et que je vivais avec ce dernier ? Sa n’éveillerait sûrement pas de soupçon à mon propos. Je lui adressa un sourire doux et ajouta d’une voix qui, je l’espérait, était sucrée et délicate

Et bien, non je n’ait pas de famille ici, par contre, je vie avec un certain Seth Clearwater, c’est un Quileute qui habitait à La Push avant, tu connaît ??

Bah oui qui sait, peut-être que ce Jacob connaissait Seth. Dans une ville aussi petite, tout le monde était forcer de connaître tout le monde sauf l’intention d’avoir l’air idiot. Il y avait sûrement que les nouveaux qui ne connaissait pas les gens et encore là, il fallait disposer d’un sens de l’adaptation assez bas. Dans mon cas, c’était relativement bien.

Une brise humide mais un tantinet frisquet fit son apparition dans les falaises. Le vent qui soufflait rafraîchissait l’air avec un peu trop d’entrain, il faisait froid. Cette habituelle température basse à Forks ne me plaisait guère. Les jours de soleil me manquait et l’eau de piscines aussi d’ailleurs. Avec réflexe, je porta mes mains sur mes bras pour tenter de me réchauffer, en vain. C’était inutile puisque le vent soufflait de plus belle, je porta mon regard vers le ciel, et de nuage gris argenter se peaufinait à l’horizon. Allait-il pleuvoir ? J’espérai que non, je désirait que mes cheveux reste intacte et mon maquillage également. De plus, je ne voulait pas quitter la compagnie de Jake, j’avait envie de le connaître d’avantage, après tout, il avait l’air sympathique. Ah et puis, même si il pleuvrait, sa ne serait pas une raison de le quitter pour autant, nous saurions seulement obliger d’aller ailleurs.

Seth ?... Seth !? Le Seth Clearwater que je connaissais !? Il connaissait cette fille sublime !? Pourquoi ne me l’avait-il pas présenté !? Je fis la moue mais je repris assez vite l’air que j’avais il n’y avait même pas quelques minutes. Se n’était pas vraiment de sa faute… Il ne le savait pas lui que j’allais m’imprégné d’elle. « M’imprégné » ce mot me faisais bizarre a dire… Et aussi il n’était pas juste bizarre à dire. Il avait enfin prit son sens réel… Je savais enfin ce qu’il signifiait vraiment.

Hmmm… Elle n’avait pas de famille à Forks… Mais pourquoi était-elle venue habiter à Forks ? Qui voudrait venir vivre dans une petite ville rejeter des autres ou il y pleuvait 365 jours par année ? Appart les sangsues, je ne voyais pas qui pourrait être attiré par cette petite ville minable…

- Oui, je connais Seth Clearwater, nous sommes amis.

Le vent avait commencé à se lever et je pu remarquer que Vicky avait froid parce qu’elle couvrait ses bras avec ses mains en essayant de se réchauffer. Je levais, moi aussi, la tête vers le ciel. Il faisait sombre, il allait bientôt pleuvoir c’était certain… Saleté de température. Sa ne pouvait pas attendre, au moins, un jour avant de pleuvoir ? Ah non, c’est sur. Il pleut à tous les jours ici… Comme si on pouvait oublier cet énorme détail… Je soupirais assez bruyamment. J’en n’avais marre… Je ne pouvais même pas discuter tranquillement avec quelqu’un sans que la pluie vienne tout gâcher ! Je devrais peut-être l’amener à quelque part ou nous serons à l’abri de la pluie qui s’en venait a grands pas ? Je regardais sur moi pour voir si j’avais une veste ou quelque chose qui pourrait la réchauffer pour l’instant mais rien je n’avais rien amené de tel… Ce qui me surprenait le plus c’était qu’elle n’avait même demandée de rentrer quelque part pour se protéger de la pluie qui s’en venait. N’importe qu’elle filles que je connaissais aurait vite demandée de rentrer pour ne pas que leur coiffures/maquillage se défasse. Mais elle, elle restait en place.

Je ressue enfin la première goute de pluie, sur le front. J’étais tellement habituer de couvrir Bella et de l’amener a un endroit ou elle ne risquait pas d’être mouiller que je m’empressais de passer un bras par-dessus les épaules de Vicky et de l’amener en-dessous d’un arbre qui était, heureusement, proche de nous. Au moment ou nous venions d’atteignent l’arbre, la pluie éclata d’un coup. Il pleuvait tellement fort qu’ont aurait pu prendre notre douche sous la pluie ! Évidemment, comme que ce n’était qu’un arbre, quelques goutes réussissais a nous atteignent mais pas assez pour être totalement mouiller. J’avais complètement oublié que j’avais toujours mon bras par-dessus les épaules de Vicky. Lorsque je m’en aperçue, j’enlevais vivement mon bras de là et recula d’un pas vers l’arrière. Je me mordillais, maintenant, la lèvre en regardant le sol. Le silence c’était installer entre nous deux. Puis, je relevais la tête et lui adressa un sourire.

- Voilà ! Bienvenue à Forks ! A, presque, tous les jours c’est ainsi. Mais t’inquiète, on si fait a la longue.

Je reçu une gouttes d’eau également, il allait belle et bien pleuvoir. Ce n’était pas étonnant d’ailleurs, j’allait devoir m’habituer, du moins jusqu'à se que j’ai retrouver se que je cherchait dans ce patelin pluvieux de l’État de Washington. Une personne bien spécial, disons-le. Effectivement, je cherchait quelqu’un, quelqu’un qui pourrait changer ma vie. J’allait rester ici tout le temps qu’il faudrait pour le retrouver.

Je fut surprise quand il passa son bras par dessus mes épaules, mais c’était loin d’être déplaisant. Sa peau était d’une chaleur incroyable. Il faisait chaud près de lui ^^. Le changement de température si brutale déclencha quelques frisson. Mais comment pouvait-il être aussi bouillant alors que le vent froid soufflait et qu’il était à peine vêtue ? Décidément, ces Quileutes, ils resteraient toujours un immense mystère pour moi. À Forks, tout était étrange, entre mon ami Alexender froid comme la glace et Jacob chaud comme le feu, je n’y comprenait rien.

Une fois sous l’arbre, je fut légèrement déçus qu’il enlève son bras. J’était bien près de lui. Sa chaleur corporelle me donnait l’impression d’être en été. C’était mon soleil en plein milieu de la pluie. À cette pensé, un sourire chaleureux fendit mes lèvres. Quand il se décida enfin à parler, je lui répondit sur un ton amusé

J’espère bien, sinon, je me sauve d’ici en courant !

Je le gratifia d’un sourire éclatant. Malheureusement, le froid reprit vite le dessus sur moi, je grelottait. Aujourd’hui n’était pas la meilleure journée pour aller se promener en nature à se que je pouvait constater. À moins d’être une personne qui adore être sous la pluie, ce qui est rare. Moi tout se que j’aime de la pluie c’est la sensation de l’eau tombant, comme une chute.

Humm… Jacob, je peut retourner dans tes bras ? J’ai froid…

Je lui fit un léger sourire innocent tandis que mes joues s’empourprait. Mais qu’es qui m’avait prit de lui demander sa ? J’avait complètement perdu la tête où quoi ? C’était certain qu’il allait me prendre pour une folle. Je viens à peine de le connaître et je lui demande si il peut m’enlacer, c’était quoi cette idée non de dieu ? Je n’avait pas hâte de voir sa réaction, c’est pour cela d’ailleurs que je me tourna pour lui faire légèrement dos. En fait, j’était de biais mais ne pouvait apercevoir son visage.

Je regardais la pluie s’abattre sur les falaises. Mon regard était vide, j’étais retombé dans mon monde lointain, dans mes pensées… A la réplique de Vicky, je ne lui fis qu’un simple sourire en coin. Espérons qu’elle s’habitue à cette saleté de température…

Avec la force que la pluie tombait, j’en pu déduire qu’il n’arrêtera pas de pleuvoir de si tôt. Nous devrions donc rester ici en attendant que la pluie s’arrête. A moins que Vicky soit assez courageuse pour combattre cette pluie et risquer d’être complètement tremper. Moi personnellement, je préférais rester ici en attendant que la pluie se calme. Je n’avais pas envi de rentrer a la maison tremper… Je risquais de me faire gueuler dessus par Billy qui allait chialer que j’avais mouillé toute la maison en me rendant jusqu’à dans ma chambre pour me changer. Et je dois avouer que, aujourd’hui, je n’avais pas envi de me disputer avec Billy…

Le regard viré vers le sol, je dessinais des cercles avec mes pieds par terre. Je ressue quelques petite goutes –qui avaient réussit à se faufiler jusqu’à nous- sur mes épaules nue. L’eau et le vent devait surement être froide et froid mais comme que ma température était plus élever que celle des humains, je ne pouvais pas sentir la froideur de l’eau et du vent.

Humm… Jacob, je peut retourner dans tes bras ? J’ai froid…

Je levais vivement la tête vers Vicky. Je nus juste le temps de la voir me sourire et de voir ses joues s’empourprer d’un rouge léger avant qu’elle se tourne légèrement pour que je ne pu voir son visage.

J’étais encore perplexe par sa question, je ne savais pas comment réagir ou quoi faire… Je la connaissais à peine… Mais peut-être était-ce ma chance ? Ou peut-être que non… Devrais-je l’enlacer ? Ou non ? Un grand combat se livrait, maintenant, dans ma tête ce qui me causa une énorme migraine. Je fermais les yeux pour essayer de faire passer le mal de tête mais en vint il resta là. Le combat se livrait toujours dans ma tête… Oui ou non ? Peut-être ou peut-être pas ? J’arrêtais de me poser des questions et vira mon regard sur Vicky. Elle avait beau me faire un peu dos mais je pouvais remarquer qu’elle grelottait. Une pensée me traversa soudain l’esprit. Et si elle attrapait la grippe ? Ou elle pourrait très bien tomber malade ! Je secouais la tête. Mon dieu me voilà qui essayaient de trouver une bonne raison pour pouvoir l’enlacer ! Mais tout de même c’était vrai qu’elle pouvait tomber malade… Si c’est pour l’empêcher de tomber malade, je ne vois pas pourquoi je ne pouvais pas…

Je me retournais vers Vicky et me passa une main dans les cheveux. Mains dans les poches, je restais planter là, debout pendant quelques minutes. Puis, je me décidais enfin. Faisant un pas vers l’avant, je mis mon bras par-dessus les épaules de Vicky.

Alors, toujours geler ?, demandais-je d’un ton amuser.

La chaleur qui émanait de lui en cet instant était incroyablement apprécier. C’était comme recevoir un cadeau merveilleux sans l’avoir demander. Où tout simplement comme une de ces journées de soleil étouffante que j’aimait tant passer avant avec mon Ex. Tout deux, moi et lui, sur le bord de la piscine, lui m’enlaçant et moi en bikini, les fou rires et les baiser dans le cou. Malheureusement, ce n’était que de vieux souvenirs, depuis que je l’ait laisser, je ne l’ait plus revue. Une relation amoureuse d’un ans et demi que j’avait jeter à l’eau à cause qu’il avait trop changer. Néanmoins, il me manquait. Non pas que je regrettait mon choix, au contraire, mais n’empêche que je m’ennuyait de lui. À cette penser, je baissa les yeux au sol, le contemplant, mouiller par la pluie torrentielle. Je me refusait de croire que je pouvait l’aimer encore, c’était tout simplement impossible. Il fallait me changer les idées. Quand Jake eu prononcer quelques mots, je ne pu m’empêcher de sourire et d’ajouter tout aussi amuser que lui

Non je n’ais plus froid, je doit avouer que tu est très chaud !

Mais que me prenait-il tout à coup ?! Je n’avais pas conscience que j’était en présence d’un inconnu où quoi ? Je lui parlait comme si, comme si… comme si il… aurait été Spencer ( son Ex, si tu veut plus de renseignement, va voir dans les scénarios ). Non ce n’était pas possible ! Mais pourquoi je n’arrête pas de penser à lui ? Pourquoi j’en reviens toujours à se satané Spencer ?! Ahhh j’aurait bien voulu l’effacer de ma mémoire celui-là.

Dit moi, tu n’a pas froid toi ? À peine vêtue comme sa, c’est étrange.. Seth est pareille !

Et bah oui, mais comment pouvaient-ils ne pas avoir froid ceux là, je les enviait vraiment. Moi qui est une frileuse hors pair, j’aurait bien aimer ne jamais geler comme eux. Sa me serait utile près de Alex qui lui, est un vrai réfrigérateur ! Non mais je vous jure, il a la peau dure comme le marbre, blanche et a une température corporelle hivernal. Le contraire absolu de Jacob O__O. Jacob, si bouillant et à la peau incroyablement bronzer même dans une ville où le soleil rayonne que très très rarement. Mais comment cela pouvait être possible ? Il n’y avait aucune explication logique.

J’attendait sa réponse alors que le vent se faisait de plus en plus glacial. Je me tourna légèrement pour me blottire contre son torse. J’était, même avec mes talon haut, plus petite que lui, et de beaucoup. Néanmoins, être coller contre lui était parfait, je n’avait même plus froid et je ne pensait plus à Spencer. Je ne réfléchissait qu’au moment présent. Ni au futur, encore moins au passé, j’était bien présentement, c’est tout se qui m’importait.

Dit moi, tu n’a pas froid toi ? À peine vêtue comme sa, c’est étrange.. Seth est pareille !

J’ouvris les yeux. Et oui en effet, j’avais fermé les yeux quelques instants plutôt. Pourquoi je n’avais donc pas froid ? Bonne question… J’aurais bien voulus lui répondre mais j’en étais incapable. Premièrement, elle n’était qu’une humaine alors elle ne connaissait pas notre existence ni celle des Sangsues. Deuxièmement, je la connaissais à peine… Mieux fallait attendre de mieux la connaitre, pouvoir savoir que je peux lui faire confiance et connaitre ses peurs.

Je la sentis, soudain, se blottir contre mon torse. Sans savoir pourquoi, mon cœur s’accéléra et ma respiration se fit plus rapide… Je retirais ma main, qui était resté dans la poche de mon pantalon, et la plaça sur la taille de Vicky avec mon autre main qui était sur les épaules de Vicky, je la mis aussi sur sa taille et la vit pivoter pour qu’elle se retrouve face à moi. Je la regardais en me mordillant la lèvre. Comment pouvais-je répondre à sa question sans lui mentir ? Puis, je me penchais vers son visage.

Hmmm… Nous sommes différent…

Après tout, c’était vrai que nous étions différents. Je ne lui avais donc pas mentis. Un sourire de satisfaction se dessina sur mes lèvres. Mon visage était toujours juste à quelques centimètres du sien. Je pouvais sentir sa respiration s’entremêler avec la mienne… Je rapprochais encore plus mon visage du sien, comme si j’allais l’embrasser. Alors que mes lèvres frôlaient celles de Vicky, je me ressaisis et releva la tête. Mais c’était quoi mon problème !? Qu’est-ce qui m’avais pris de rapprocher mon visage du sien pour que nos lèvres se frôlent !? J’étais vraiment tombé sur la tête ou quoi !?

Un violent coud de vent me sortis de mes réflexions. Par réflex, je pris Vicky dans mes bras et la colla contre mon torse en essayant de la protéger du mieux que je pouvais contre se vent violent. Je me rendis compte que sa tête m’arrivait a la hauteur du torse, j’étais immense a coter d’elle !

Mon cœur continuait toujours d’accélérer et ma respiration de se faire de plus en plus vite. Je n’entendis, soudain, plus rien appart les bruits des battements de mon cœur affoler qui résonnaient dans mes tempes. Je me demandais si Vicky entendait le bruit de mon cœur affoler ou voyait ma respiration qui devenait plus rapide…

Soudain se que je regrettais le plus se passa… Dans un mouvement comme si j’avais fait cela des millions de fois, je pris Vicky par la taille et la plaça contre le tronc de l’arbre qui nous protégeaient de la pluie et, en me penchant vers elle, je l’embrassais. Après quelques secondes – d’après moi les plus belles de ma vie- j’arrêtais de l’embrasser et m’écarta d’elle. Je pensais lui sortir quelque chose du genre ; Désoler ! J’suis vraiment désole Vicky ! J’voulais pas, j’sais pas c’est quoi qui ma pris ! Mais aucun son ne sortit de ma bouche…

Désolé, j’crois que j’suis allé un peu trop vite sur ce coup là…

Je restais perplexe. Les seul mots qui avaient voulut sortir de ma bouche avait était ceux-là ! Non mais, j’étais vraiment con ou quoi !? Voilà, là c’était sur que j’avais plus aucune chances… Mais c’st quoi que j’avais bordel !? Surement le sommeil… Oui, voilà qui expliquait mon comportement bizarre d’aujourd’hui ; le manque de sommeil. Sérieusement, j’crois qui vaudrait que je commence à dormir si je ne veux pas commencer a toujours agir comme un con…

À l’instant où je me blottit contre Jacob, je sentit son pou et sa respiration s’accéléré, mais n’y porta pas la moindre attention, si sa se trouvait, ce n’était qu’une coïncidence. Quand il approcha son visage du mien pour souffler une réponse à ma question, je pût sentire son haleine si fraîche et merveilleuse. Néanmoins que ses mots m’extirpa de ma contemplation, je le croyait et ne désirait pas en savoir plus, enfin, pour le moment. J’était trop bien pour gâcher ce moments en sa compagnie. Et j’ignorait pourquoi d’ailleurs je me sentait si bien…

Le sourire qui se dessinait alors sur les lèvres pleines de Jake était magnifique, et son visage était près du mien, tellement près que nous pouvions sentir nos lèvres se frôler et c’est à se moment que ma respiration s’arrêta nette, mais reprit son cours la seconde d’après quand il releva la tête, comme s’il regrettait un acte ou comme s'il craigniait que cela m’aille déplut. C’est alors que le vent fit son apparition de plus belle, et que Jake me recolla à lui, j’appuyait ma tête contre son torse puisque je n’était pas assez grande pour la mettre ailleurs, ce qui était un avantage, dans ce cas.

Soudainement, je me sentit attraper par la taille et accoté contre le tronc de l’arbre tout près. En une fraction de seconde, Jacob m’embrassait. Ses lèvres chaudes et douces était collé aux miennes. Normalement, j’aurait repousser quiconque aurait essayer de m’embrasser. Cependant, en cet instants je me fichait totalement qu’il me soit inconnu ou encore qu’il soit n’importe qui d’autre d’ailleurs. Tout ce qui comptait c’était lui et moi, rien d’autres.

Quand il décolla enfin ses lèvres adorables, je restait bouche-bée. Aucuns sons ne pouvait sortire de ma bouche, j’était totalement éblouie. C’était la première fois qu’une personne m’embrassait sans même s’avoir mon âge où encore mon nom de famille. Après que lui aille prononcer sa phrase d’excuse, je réussis avec difficulté à articuler

Ahh… Heuu…

Effectivement, je ne s’avait quoi dire où quoi faire. Je ne pouvait pas lui en vouloir, non en fait, je ne voulait pas lui en vouloir. Pourquoi lui reprocher un acte que j’avait apprécier ? Était-je devenue complètement folle pour aimer les baisers d’un inconnu ? Surement…

C’est alors que je sentis mes joue s’empourprer, je fit un doux visage innocent en allant jouer avec une mèche de mes cheveux, nerveuse. J’était encore sous le choc, mais il fallait que je fasse quelque choses.. C’est alors que je m’approcha de lui et colla délicatement mes lèvres sur celle de l’homme devant moi. Mon cœur se mit à battre la chamade, les baisers de Jacob était si doux et on aurait dit… amoureux. Oui c’est sa, on n’aurait dit des baisers amoureux alors que je ne le connaissait même pas… Quelques seconde après, je décolla ma bouche, lui sourit, béate, avant d’ajouter amusé

On n’est quitte maintenant

Je retourna dans ses bras, je n'avait pas vraiment froid, j'était tout simplement bien. Je déposa ma tête contre son torse, humant son odeur ensorcelante.

J’étais entrain de me traiter de tout les noms qui existaient ; con, imbécile, stupide, salaud, cingler, fou… J’allais continuer ma liste lorsque je sentis des lèvres délicates se poser sur les miennes. Je revins instantanément à la réalité. Vicky… Elle m’embrassait ! Je n’en revenais juste pas !...

On n’est quitte maintenant.

Après cela, elle retourna dans mes bras. Je soupirais de soulagement. Au moins, j’étais sûr d’une chose et la plus essentielle même ; elle ne m’en voulait pas. J’hésitais entre ; refermer mes bras atour d’elle ou de les laisser le long de mon corps comme ils étaient déjà… Je décidais de ne pas bouger, j’en avais déjà assez fait comme sa… Mieux fallait pas en rajouter.

Je l’écartais, soudain, de moi et recula de quelques pas pour la regarder. Penchant la tête sur le coter, je me croisais les bras sur le torse. J’avais été un peu trop vite pour se baisser, même beaucoup trop vite. Mais il y avait quelque chose d’autre qui me tracassait… Se quelques chose, c’était la réaction de Vicky. Elle n’avait même pas essayée de me repousser et je dois avouer que cela me tracassais… Non mais… C’est qu’elle ne me connaissait pas ! Okay, ouais, j’dois avouer que moi non plus j’la connaissais pas mais que j’l’avais quand même embrassé… MAIS moi c’était différent, je m’étais imprégné d’elle et a ma connaissance, les humains ne pouvait pas s’imprégné… Enfin, j’pense…

J’avais vraiment envi d’lui demandé pourquoi elle ne m’avait pas repousser mais je décidais de m’la fermer… C’était mieux ainsi… J’avais l’impression que si j’lui demandais cela, j’allais plus causer de problèmes qu’autres choses…

Pour changer un peu l’atmosphère, je décidais de penser à une question que je pourrais lui poser –sans causer de problème bien sur-. Je réfléchis quelques minutes mais rien ne me vint à l’esprit. Je fronçais, maintenant, les sourcils. Une question, une question… Mais qu’elle question !!! Pourtant y’en avais des milliers de stupide questions !

*Aller Jacob, réfléchis un peu y’a surement une question que tu peux lui poser…*

Ouais, réfléchir, réfléchir… C’est ce que je faisais me*de ! Je n’étais surement pas là planter debout les bras croiser et les sourcils froncer pour rien tséé ! Je ne connaissais quasiment rien sur elle… Elle pourrait peut-être me parler d’elle ? Ah ! Oui ! Voilà la question que j’allais lui poser ; qu’elle me parle d’elle. Satisfais, je décroisais les bras et la regarda avec un sourire aux lèvres.

Parle-moi de toi.

Je lui avais sortis la question carrément comme sa. Après, j’avançais vers le tronc d’arbre et mis accota confortablement prêt a écouter son récit. J’étais, j’dois l’avouer, très satisfais de ma question. Je pourrais en savoir plus sur elle. Mais malgré que j’étais satisfais de ma question, j’avais vraiment envi d’lui poser mon autre question qui me brûlait les lèvres depuis un bon moment déjà… Ne pouvant plus me retenir, je m’écartais de l’arbre et la regarda dans le plus profond des yeux.

Pourquoi tu ma pas repousser ?

Un énorme soulagement m’envahis lorsque je lui posais ma question. Je voulais savoir… J’avais besoin de savoir…

Voilà qu’il me repoussait ? Qu’avait-je fait de mal encore ? Moi et mes gestes toujours déplacer aussi... -_-' Quand il m’écarta de lui, je me doutait que j’avait fait quelque choses de mal. Alors qu’il croisa les bras sur son torse, une vague de culpabilité s’éprit de moi à cette instants. Je me sentait vraiment mal à l’aise. Et pour couronnée le tout, il fronça les sourcils, j’était persuader qu’il était maintenant en colère contre moi. Mon coeur battait plus vite, mais de stress. Je ne me sentait pas au meilleur de ma forme.

Parle-moi de toi.

Quand Jacod m’eus demander cette question, je restait perplexe. Je ne désirais pas spécialement lui répondre après ce qui venait de se produire. Sans même avoir la charge de lui répondre quelque choses, il renchéri avec une nouvelle question, question qui ne me plaisait guère cependant. L'envie d'aborder ce sujet avec lui ne faisait pas partit de la gamme d'émotion que j'éprouvait.

Pourquoi ne l’ai-je pas repousser ? Très bonne question, qui restait sans réponse malheureusement. Que pouvait-je lui dire ? L’envoyer balader et ne plus jamais le revoir ? J’aurait bien aimer, sa aurait mit un terme sur lui et les évènements précédent. Néanmoins, je devait faire cela poliment et sans lui manquer de respect. J’avait par dessous tout envie de pleurer, la tournure des choses ne me plaisait pas, mais n’en fit rien. Je soutenu son regarde quelque seconde avant d’ajoutée, plus tristement et sèchement que prévue

J’en n’ai aucune idée Jacob, la prochaine fois, remarque, il n'y en aura pas... Enfin, je te repousserait !

Sans lui laisser droit de paroles, je tourna les talons, direction, ma voiture. N’étant plus sous l’arbre protecteur, les millions de gouttes d’eau torrentielle m’atteignait, en moins d’une seconde, mes cheveux était complètement trempée, mes vêtements et mon visage aussi d’ailleurs. Mais cela m’était égale, j’allait bientôt retourner à l’appartement, et si Seth me posait des questions, je lui dirait simplement que j’ai attraper la pluie. Il n’est pas question qu’il connaisse la vérité, bien que son ami Jacob lui dirait sûrement tout.

Je me sentait étrangement cruche, comme d’habitude bien évidemment. Il fallait que je fasse quelque choses de trop pour que les gens se fâche. Je me sentait terriblement stupide de ne pas l’avoir repousser, j’aurait dût. De plus que me laisser embrasser est contre mes principes, décidément Forks me rendait folle. Cette ville de me*de, j’avait bien hâte de la quitter. Pourquoi tout se qui me tombe sur la tête à le droit de me rendre malheureuse ? C’était peut-être la pluie que me rendait nostalgique, mais j’aurait jurer encore mal agit avec quelqu’un. De toute façon, c’est le cercle vicieux dans lequel je vie…

En moins de trois secondes, je me trouvait devant ma voiture qui était garer tout près, j’avait la main sur la poigner et m’apprêtait à ouvrire la portière…

C’était vraiment moi sa ; dire la phrase au mauvais moment. Non mais j’étais vraiment pathétique aujourd’hui !... Tout ce que j’avais fait avait causé des problèmes ! Maintenant, elle était fâcher contre moi et elle était partie… Non mais j’le savais que sa allait causer des problèmes si j’lui demandais sa ! Pis moi comme un vrai con, j’lui avais demandé !!! C’est quoi qui m’avais pris bordel !?

Sans hésiter une seconde, je m’élançais à sa poursuite. Je courais le plus vite que je pouvais. Avec la pluie, ma camisole était devenu transparente et elle était plaquer contre ma peau. Je continuais de courir malgré la pesanteur de mes vêtements tremper, il ne fallait pas qu’elle parte. Au moins, pas sans savoir que sa n’avait pas été mon intention de la rendre furieuse…

Je la rejoignis enfin. Elle s’apprêtait à ouvrir la portière de sa voiture et a rentrer a l’intérieur. Avant qu’elle ne l’ouvre, je me plantais devant et appuya ma main sur la portière pour l’empêcher de l’ouvrir et de rentrer a l’intérieur.

Je restais planter là sans aucun mot à dire. Mon cœur battait encore la chamaille a cause de la course folle que je venais d’effectuer. Que pouvais-je lui dire ? Désoler? Non, je lui avais déjà dit désoler pour le baisser voler. Cela n’était pas suffisant… Mais quoi d’abord ? Qu’elle ne part pas, qu’elle reste ? Non, c’est sûr qu’elle allait refuser après ce que j’avais fait… Peut-être devrais-je la laisser partir ? Comme cela elle oubliera se qui c’est passer et peut-être elle m’oubliera aussi ?... Non… Je ne pouvais pas faire cela… Parce que elle peut-être elle pourrait m’oublier… Mais pas moi… J’en serrais incapable…

Vicky… Je suis désolé. J’voulais pas te rendre furieuse… Ce n’était pas mon intention j’te l’jure. Tout ca j’crois que c’est à cause d’mon manque de sommeil… Ne part pas s’te plaît. Quand j’suis avec toi, on dirait que tous mes problèmes disparaissent… En bref, j’me sens bien en ta présence…

J’arrêtais de parler et fixa le sol qui était, maintenant, humide a cause de la pluie.

Mais bon, j’peux tout de même pas t’empêcher de partir…

Cela dit, je lâchais la portière et recula de quelques pas pour lui laisse de la place pour partir. C’était vrai que j’pouvais pas l’empêcher d’partir… Mais j’avoue que j’aimerais plus qu’elle reste…

Déjà je commençais à tourner les talons pour commencer à marcher en direction de la maison. La première chose que j’allais faire en arrivant était d’aller me coucher pour dormir un peu…

Je m’arrêtais, soudain, les gouttes d’eau me dégoulinant sur le visage. Je me passais une main dans mes cheveux tremper et me retourna une dernière fois. Je la regardais, elle… Elle était l’être humain le plus beau que je connaissais. Bien sûr, son visage était parfaits, ses cheveux s’ordonnent et se désordonnent comme d’eux-mêmes… Mais ce sont surtout ses yeux. Je sais pas exactement ce qu’ils avaient de spécial… Ce n’est pas leur couleur qui est assez commune, ni leur forme en amande tout aussi banale que les autres, mais il y a quelque chose d’unique a regarder dans ces yeux-là et surtout a en être regardé… Je me retournais pour reprendre ma route.

Le lendemain, nous allons être comme avant, deux parfaits inconnus.

Soudainement, alors que j’allait ouvrire la portière de ma voiture, Jacob apparue sous mes yeux. Il n’avait plus l’air en colère désormais. Il commença rapidement à me demander de rester, mais... Je n’y comprenait plus rien, il croyait que c’était moi qui était furieuse ?! Pourtant, je ne l’était pas du tout, j’était plutôt emplis d’une culpabilité à son égard. Pourquoi pensait-il que j’aurai été offusquer par son comportement précédent alors que je ne me met que très rarement en colère, et pour ça, il dois y avoir une extrêmement bonne raison. À l’instant où Jake tournait les talons et partait, je le suivit doucement et avec précaution. Me connaissant, j’aurait glisser à la première occasion, heureusement, j’arriva à lui sans tomber. Je me stoppa devant le Quileute et avec ma main droite, lui fit signe d’attendre. Je me mit alors à parler tout doucement

Écoute Jacob, je ne suis pas furieuse du tout, c’est toi tout à l’heure qui avait l’air fâché. J’était sur que j’avait fait quelque choses qu’il fallait pas

Mes yeux qui était alors plongé dans les siens, se baissa pour vagabondé sur le sol humide. Je me mordit la lèvre intérieur, pensive. Cette rencontre était dès plus étrange que j’avais faite. Après tout, c’est bien rare rencontrer des gens qui nous embrasse comme ça. Forks devenait de plus en plus étrange, pas étonnant que ce que recherche se trouve ici…

La pluie tombait sur nous, elle était effroyablement froide, mais m’était égale. J’en oubliait toute superficialité, cheveux, vêtements et même maquillage. Mon léger décolletée mauve était tremper mais heureusement n’était pas blanc, j’aurait été gênée sinon. Après quelques seconde à fixer le sol, je monta les yeux en détaillant Jacob. Le pauvre, il devait avoir froid et risquait d’attraper la grippe avec ce peu de vêtements. Sa camisole blanche laissait voir sa carrure, que j’appréciait grandement. Mais qu’elle âge avait-il ?

On devrait peut-être rentrer, tu risque d’attraper la grippe, et puis bon, ont s’expliquera à l’intérieur

Et oui, j’avait l’intention de m’expliquer avec lui, mettre des choses au clair et comprendre son comportement. Soit c’était dans sa nature d’embrasser tout et n’importe qui, ou soit.. En fait je n’en avait aucune idée. Je comptait sur lui pour m’éclairer, et d’ailleurs, j’allait lui devoir moi aussi des explications logiques, je ne l’ai quand même pas repoussé donc je suis fautive également.

J’attendait sa réponse, sagement. Tandis que mon esprit plongeait au centre de mes interrogations. Si il acceptait de rentrer, où irions nous ? Chez lui ? Chez moi ? Ahh nan, certainement pas chez moi, des plans pour tomber sur Seth -_-'. Après c’être expliquer, que ferions nous ? Allait-il s’endormire devant mes yeux car il manquait de sommeil ? Si oui, je ne sait comment je pourrait réagir, le laisser dormire serait la seule solution adéquate.

[Sa va, s'pas grave ^^]

Je me retournais vers Vicky. Moi qui avais l’air fâché ? Hmmm… Ahh… Surement a cause de la face que j’avais faite lorsque j’avais réfléchis pour trouver une question a lui poser. Décidément, il vaudra que je me pratique un peu sur cette face… Il ne vaudrait quand même pas que tout le monde pense que j’suis en colère alors que j’fais juste réfléchir ! Mais dans certaine circonstance, j’dois avouer, que cela me serrait utile. Je rapportais mon regard sur Vicky, elle regardait le sol. Je fixais un point invisible que je venais de m’inventer un peu plus loin et repartis dans mes pensées. Vraiment, depuis quelques temps, je ne faisais que rêvasser… Tout le temps dans mes pensées, je m’étais fabriquer une bulle imaginaire qui me faisais tout oublier autour de moi… Je n’entendais plus rien, ne sentais plus rien et ne voyais plus rien… Beaucoup de gens disaient que cela était des absences et que je devrais aller voir un médecin…

On devrait peut-être rentrer, tu risque d’attraper la grippe, et puis bon, ont s’expliquera à l’intérieur

Moi attraper la grippe ? Haha, elle était bonne celle-là. Je faillis lui répliquer que je ne pouvais pas attraper la grippe juste a cause de cette petite pluie, qu’il m’aurait fallu une tempêtes de neiges mais je me rappelais que Vicky ne savais pas ce que j’étais, qu’elle n’était qu’une humaine. Alors, je décidais de ne rien dire, je me contentais simplement de hocher la tête ce qui fis tomber quelques gouttes d’eau qui étaient dans mes cheveux.

Un bout de phrase me revint, soudain, à l’esprit ; ont s’expliquera à l’intérieur ; ont s’expliquera ; s’expliquera. S’expliquer !? De quoi voulait-elle qu’ont s’explique !? Sans savoir pourquoi, j’avais comme le pressentiment que cela allait tourner mal… Qu’elle allait découvrir notre monde plutôt que prévus… Et oui, j’avais eu l’intention de lui en parler lorsque nous serions ensemble. -Si cela se passait bien sûr…- Bhen quoi ?, fallait bien qu’un jour ou l’autre elle sache ce que j’étais. Comme si on pouvait vivre une relation en cachant quelque chose a l’autre… D’après moi, cela n’était pas une vraie relation. Si on voulait une vraie relation, il fallait pouvoir avoir confiance en l’autre et surtout ne rien lui cacher. Mais bon, j’allais pas commencer à me faire un scénario sur les relations amoureuses.

Je sortis de ma bulle et adressa un sourire a Vicky. J’essayais de paraître le plus normal possible même si l’idée de s’expliquer me tracassait beaucoup… Je reculais de quelques pas et me secoua la tête comme un chien le faisait lorsqu’il était complètement mouiller et qu’il essayait de se sécher. Okay, ouais… J’avoue que cela pouvais paraître bizarre de ma part… J’crois que j’ai pris un peu trop d’habitudes de Loups… Mais que voulez-vous ?, je n’y pouvais rien après tout. Je passais la majorité de mon temps dans la peau d’un énorme Loup roux… Alors c’étais quand même normal que j’aille pris quelques petite habitudes…

D’accord, ou veux-tu aller ?

Je n’avais pas posé cette question simplement parce que je n’avais rien d’autre à dire mais parce que c’était vrai que je voulais savoir ou nous allons allez… Parce que personnellement, je ne voyais pas ou nous pouvions allez… Si on ne trouvait aucune place, je pourrais peut-être lui proposer d’aller à la maison. Billy n’était même pas là aujourd’hui, alors nous allions avoir la paix pour pouvoir s’expliquer comme elle l’avait dit…

[Pour ma part, j'peux pas vraiment dire que c'est extraordinaire... ]

Il me fit un signe de la tête, comme s’il acceptait. Le silence qui s’installa par la suite devenait pénible. Comme si Jacob m’avait oublier complètement, comme si j’était la femme invisible. Il m’arrivait très souvent d’être mise de côté, mais la plupart du temps, c’était quand moi je ne me prononçait pas, quand je restait à l’écart, effacé. Je n’aimait pas spécialement me sentire délaisser comme ça alors que je me tenait juste devant lui. Peut-être attendait-il que se soit moi qui parle ? Sûrement pas puisqu’il avait l’air songeur, comme s’il était dans une sorte de bulle, engouffrée dans ces pensées. D’ailleurs, je me demandait bien à quoi il pouvait réfléchir.

Quand il fini par me sourire enfin, je fut heureuse de voir que je ne m’était pas complètement effacé. Je ris légèrement quand il se secoua comme un chien. Non mais c’était fou comme on aurait dit un animal. Je ne sait pas de où il tenait sa, mais c’était une imitation bien réussis du chien. Je fut heureuse aussi de voir qu’il avait fini par m’adresser la parole, enfin, il était sortit de ses rêveries.

Où je voulait aller ?! C’était une bonne question dont nulle réponse ne me venait en tête. Je n’avait pas peur de lui, mais aller à sa maison n’aurait pas été un peu trop tôt ? Malgré qu’aller chez moi n’était pas la meilleure des solutions. Avec Seth qui viendrait se mêler de ce qui ne le regarde pas... Ahh non, autant mieux le laisser choisir. Ahh et non, si jamais il décidait d’allez chez moi je serait foutu… Bon je croit que je vais lui faire s’avoir que je ne veut pas aller chez moi, mais je ne lui dirait pas d’endroit précis. Après mûr réflexion, chez lui ne serait pas si mal, tant qu'il n'y à personne à sa maison.

Hummm et bien...

Je fit semblant de réfléchir comme si je n’y avait pas penser plus tôt, je ne voulait pas avoir l’air d’une fille prévisible. J’aime bien surprendre les gens, simplement, j’en suis incapable. Souvent, on peut lire sur mon visage, sur mes trait facial se que je pense à l’avance et sa m’agace au plus haut point. Je devrait essayer de changer cette habitude, devenir plus...mystérieuse.

Où tu veut, tant que ce ne soit pas chez moi, Seth pourrait venir nous déranger

Oui venir nous déranger était le mot exact puisque je comptait parler sérieusement avec Jacob, et comme les murs ont des oreilles, je préfère allez ailleurs. De plus, j’aime bien être tranquille quand j’ai envie de parler à quelqu’un. Je ne voulait pas spécialement le gronder ou lui faire des reproches, je voulait plus en apprendre sur lui et surtout s’avoir la raison de ce baiser. Bien sur moi je ne l’avait pas repoussé et l’avait même réembrasser, mais c’est pas ma faute si j’aime bien jouer dans le jeu des autres. Je ne ressent rien pour Jacob, je ne le connaît qu’à peine, donc ces baisers ne signifiait rien pour moi.

La pluie se mélangeant au vent commençait vraiment à être glacial. Enfin pour moi car Jacob n’avait même pas l’air d’avoir un minimum froid. Je pouvait me douter que mes lèvres à moi devait être légèrement bleutée car mes doigts commençais à me faire mal, mes orteils aussi d‘ailleurs. Que voulez-vous, je me refroidit à rien, je suis frileuse extrême.

Ou je veux mais pas chez elle a cause de Seth… Merde alors ! Okay, j’dois avouer que j’aurais préférer être en compagnie de Seth parce qu’au moins j’aurais été sûr qu’elle ne connaît sera pas la vérité mais là c’était foutu… Anyway, j’allais m’arranger rien de plus grave. AAAAAAHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!! OUI C’ÉTAIT GRAVE !!!!!!! Mon Dieu, me voilà qui me criaient dessus intérieurement. Je me mordillais la lèvre en proie à une grande nervosité. Okay là, il fallait que je me calme et après lui proposer d’aller à la maison pour s’expliquer. Prenant une grande inspiration, je posais mon regard sur Vicky. Ses lèvres étaient devenues d’un bleu léger… Était-elle entrain de geler ? J’arquais un sourcil uniquement. Mais me ressaisis immédiatement. J’avais oublié que j’étais différent… Quel imbécile j’étais des fois.

Bon d’accord, ont va aller chez moi.

Pendant que j’avais dit ma phrase, j’avais pris les mains de Vicky dans les mienne et un frisson m’avait parcouru le corps ; elles étaient glacer ! Toujours ses mains dans les miennes, je commençais déjà a marché vers sa voiture. Mieux fallait vite rentrer avant qu’elle ne tombe vraiment malade. Je m’arrêtais devant la portière et regarda Vicky. Bhen quoi ?, j’pouvais rien faire d’autre c’est elle qui a la clé. Pis à ma connaissance, je ne crois pas qu’elle serait très très contente si je lui défonçais la portière. En + qu’elle ne serait pas contente, elle se poserait beaucoup de questions… Et comment moi j’allais lui répondre ? Rolala fallait vraiment que j’arrête de me poser plein de questions sur des événements qui ne ce sont même pas encore passer !

Alors que j’étais debout au coter de Vicky à attendre qu’elle rouvre les portes, mes yeux se fermaient par eux-mêmes et ma tête se pencha vers l’avant. Me rendant compte que j’étais entrain de m’endormir sur place, je me secouais énergiquement la tête pour essayer de me ressaisir le plus vite possible. Ah non, fallait vraiment pas que je m’endorme maintenant… Et surtout pas lorsque nous allons nous expliquer ! Cela serait vraiment impoli de ma part…

Je sentais que mes jambes allaient céder sous mon poids. C’était la première fois que je ressentais ce genre de truc. J’avais besoin de m’assoir et maintenant. Malgré le sol humide, je me mis dos à la voiture et me laissa glisser sur le sol en accotant ma tête contre la voiture.

*Merde, je n’aurais pas du faire cela bordel !*

Et oui, ma position me donna plus envi de m’endormir. Je me leva d’un bond et regarda Vicky d’un regard suppliant et dirigea mon regard vers la portière comme pour lui faire savoir, sans parler, si elle pouvais vite ouvrir les portes avant que je ne tombe endormis sur place.

[Désolé pour ce poste court et minable. C'est que je garde deux kids qui débordent d'énergie et j'ai un énorme mal de tête...]

[ Mais nan sa va hen ^^ C'est pas grave ]

Je fut heureuse qu’il prenne mes mains même si, après ce qu’il venait de se passer, j’était un peu mal à l’aise avec lui. Bon au moins, je n’avait plus froid au mains nan ?! Chez lui !? Olala, j’avait drôlement hâte de voir l’intérieur de sa maison. Si c’était plutôt pauvre ou riche ? Ou encore, moderne ou rustique ? De bon goût ou plutôt de mauvais. Charmant, accueillent ou épeurant ?! Et si jamais j’arrivait là bas et qu’il y avait une salle de torture O____O. Peut-être était t’il un jeune meurtrier, ou pire encore, un violeur de femme. Pour moi, être violée est la pire des tortures, après tout se que j’ai vécu dans ma vie, c’est même pas étonnant. Quiconque me connaissant bien, très bien, sait pourquoi. Avec tout ces pensée désagréables, je commença à stresser du coup. J’inspira grandement pour me calmer.

Quand Jacob nous attirait vers ma voiture, je le suivit sans broncher. Une fois devant la portière, je vu Jake me regarder. Je me mit alors à chercher la clé de ma voiture qui était introuvable xD. Il y avait tellement de trucs après mon porte clé que s’en était impossible mettre la main dessus. Soudainement, je l’aperçu alors qu’il allait s’asseoir sur le côté de ma voiture, par terre. Je haussa un sourcil tout en le regardant, il était vraiment étrange. J’était en quelque sorte très surprise, jamais je n’aurait oser m’asseoir sur le sol tremper alors que lui avait l’air de sen ficher complètement. Heureusement, il se releva aussi vite qu’il c’était assis. Il me lança un regard suppliant et par la suite, regarda la portière. Aussitôt, je détacha mon regard de Jacob pour me reconcentré sur ce que je cherchait avec misère.

Je la trouva enfin et ouvrit la portière rapidement. La pluie atteignait l’intérieur de celle-ci puisqu’elle était grande ouverte, mais sa m’était égale. J’entra à quatre patte sur les deux sièges pour aller ouvrire l’autre porte. Quand ce fut fait, je me recula et m’assit siège conducteur, je n’allait pas laisser un inconnu conduire ma voiture tout de même ! La porte était toujours ouverte donc je pût dire à Jacob

Va l’autre côté !

Peu de temps après, je referma la portière. Je démarra mon auto sans la faire avancer toutefois. J’attendait que Jake entre avant xDD. Imaginer la scène, elle part sans lui et quand elle recule pour se mettre dans le bon angle, elle lui rente dedans. Là, elle sort de la voiture pour voir si il va bien et s’aperçois qu’il est toujours en vie et que ses blessures se soigne toute seules !!! Panique total, elle fait une crise cardiaque xD. Le pire c’est que sa serait trop son genre -____-‘. Elle est tellement gaffeuse et cruche que sa ne m’étonnerait même pas.

Elle trouva enfin ses clés et me demande d’aller de l’autre coter de la voiture, ce que je fis sans me faire prier. J’étais encore… Comment dire ?... éblouie ? Bah oui, lorsque Vicky s’était mise a quatre pattes sur les deux bancs pour pouvoir m’ouvrir la portière, je l’avais, vous vous en doutez surement, détailler… Et laisse-moi vous dire qu’elle était sublime !

La portière débarrer, je l’ouvris et m’assis à l’intérieur. Vicky avait déjà fait partir la voiture. Lorsque je refermais la portière, je me retournais légèrement pour pouvoir regarder, le plus discrètement possible, Vicky. Vue l’expression que son visage affichait, j’en pu déduire qu’elle était contente d’aller chez moi mais en même temps elle stressait pour une ou plusieurs raisons que j’ignore totalement. J’dois avouer, qu’en ce moment, le pouvoir d’Edward serait très apprécié. Ah !, mais pourquoi pensais-je donc a cette Sangsue de malheur !? Je me positionnais correctement sur le banc et accota ma tête contre le dossier puis fixa droit devant moi.

Ta juste a allée a la Push ou il y a les habitations, pis après, ma maison va être parfaitement visible. J’te dirais c’est laquelle lorsque nous serons rendus. En passant Vicky, quelqu’un ta tu déjà dis que tu étais magnifique ?

Bhen oui que c’était sûr que quelqu’un lui avait déjà dit cela ! Franchement, elle était, d’après moi, la plus belle fille du monde. Mais bon, si personne ne lui avait dit cela, je serais le premier. ^^ Mais cela m’étonnerais beaucoup… Anyway, revenons au moment présent. C’est celui qui compte le plus non ? Pour me mettre plus confortable, je passais mon bras par-dessus le dossier de Vicky et tourna la tête vers la fenêtre pour regarder la pluie violente qu’il y avait dehors.

Mes pensées vagabondèrent un peu sur tout. Soudain, je sursautais et sortis en vitesse de la voiture de Vicky. J’étais complètement mouiller ! J’allais totalement tremper le banc ! Non mais quel imbécile celui-là… -_-‘ J’étais debout sous la pluie et ne lâcha pas le blanc des yeux. Je ne fixais pas le banc juste parce que, peut-être je l’avais trempé mais parce que j’étais encore entrain de me poser des questions banale du genre ; Est-ce que Billy est à la maison ?, Si oui, comment allait-il réagir a la visite de Vicky ?, Et moi, qu’allais-je lui dire pour Vicky ?, Que je me suis imprégné d’elle ?, Bah non, je n’allais pas lui dire cela en présence de Vicky quand même… Des risques qu’elle ce pose des questions… Et si Billy n’est pas à la maison et que je rentre dans la maison avec Vicky tremper, comment allait-il réagir à son retour en voyant la maison tremper ? Vous savez, ces genres de questions là…

Je détachais mon regard du banc et le posa sur Vicky qui était assise au volant de la voiture. Elle pourtant, elle ne sembla pas inquiète du tout de mouiller sa voiture… Mais peut-être était-ce parce que c’est sa voiture à elle. Alors, cela lui dérange moins ? Anyway, je n’allais pas prendre le risque de mouiller sa voiture pour après me faire gueuler dessus à cause de cela… J’allais plutôt dire que j’allais marcher jusqu’à chez moi et que si elle veut elle peut me suivre avec sa voiture… Et si elle me dit que sa ne lui dérange pas que je mouille son banc alors là je ne me ferais pas prier. ^^

Heuuu… Vicky, je risque de mouiller ton banc… Alors, je vais marcher jusqu’à chez moi. Tu peut me suivre dans ta voiture si tu veut.

Quand il m’annonça qu’il me trouvait magnifique, j’était à la fois gênée et surprise et peut-être un tantinet septique. La dernière fois qu’un garçons m’avait dit pareil compliment, c’était dans les temps que je sortait avec Spencer. En fait, il n’arrêtait pas de me le dire, pourtant, venant de Jacob c’était différent. Différent sous plusieurs aspect mais qui, malheureusement, n’était pas assez claire pour que je puisse les comprendre. Je ne sait pas réellement se que je ressentait sur cette belle paroles. Disons que je le croyait qu’à moitié. Avant d’employer le mot magnifique, les gens devrait réfléchir, sa signifie beaucoup. Beau, belle est plus approprié et surtout réaliste. Personnellement, je me trouve très banal, voir même hideuse, alors être qualifié de magnifique est exagéré selon moi. Sois Jacob n’en pensait pas un mots, choses très plausible, ou soit tout simplement qu’il avait besoin de parler pour parler.

Soudainement, dès lors même que je voulu lui répliquer qu’il disait n’importe quoi, je le vit sursauter puis sortir de ma voiture. Mais que lui avait-il pris nom d’un chien ? À quoi avait t’il penser encore celui-là ? Non mais je vous jure, il adore ce compliquer la vie lui où quoi ? Je le regardait attendant des explications logiques. Il était debout sous la pluie et fixait le siège gauche de ma voiture, comme si il avait fait quelque choses de mal. Peu de temps après, il posa son regard sur le mien, j’espère qui eu remarquer que je le trouvait de plus en plus bizarre et qu’il était mieux de m’expliquer des choses. Heureusement, il avait fait ça uniquement dans le but de ne pas mouiller le siège avant. Quand il proposa alors d’aller chez lui à pied, je fut quelque peu offusquer, oui il avait de bonnes intentions mais certes, il me croyait beaucoup plus superficielle que je l’était. Je me maquille, me coiffe, mais comme toutes bonnes filles est censé le faire non ? Enfin, je ne croit pas exagérer en voulant prendre soins de mon apparence. Les filles qui, au contraire, ne soigne pas leur physique son simplement ignorante dans quel monde nous vivons, remplis de préjuger et de complexe imposer. Voir toute ces belles femmes à la télévision et même sur tout les affiches publicitaire ne nous aide pas à nous sentire jolies, loin de là. Le naturel est une choses et le " jemenfoutisme " une deuxième. Enfin, j’adressa un sourire en coin à Jacob avant de poursuivre sur un ton amicale

Écoute Jacob, j’en n’ait rien à faire que tu trempe mon banc ou non, sa se lave tu sait, et puis bon, si t’es emplis d’une trop grande culpabilité, tu m’aidera c’est tout !

Je lui fit un clin d’oeil, amusé. J’avait hâte qu’il revienne dans la voiture, étrangement, quand il était là, il faisait moins froid. Non mais sérieusement, trouvez vous ça logique vous ? Qu’un être puisse avoir une température au dessus de la moyenne ou encore, en dessous de la moyenne, comme Alexender par exemple ? Pas moi. C’était sûrement Forks qui rendait les gens étrange, tout le monde ici me paraissant hors du commun. Je n’avait pas envie de devenir comme eux, que je trouve ce que je recherche et que je me sauve d’ici au plus vite. La personne que je cherchait avait bien fait de venir dans cette ville mystérieuse et inanimé de toute vie, enfin presque... Si m’éloigniez et faire en sorte de me rendre la tache difficile était son but, sa marchait à merveille

Ouff, une chance qu’elle me laissait revenir dans la voiture parce que mes jambes n’auraient pas été capable de se rendre jusqu’à chez moi. Je rentrais dans la voiture et m’assis un poussant un soupire de soulagement. Mon Dieu, elle devait surement me trouver bizarre… Tout ce que j’avais fait aujourd’hui avait fait des problèmes ou était bizarre… Mais j’dois aussi avouer que j’étais quand même un peu bizarre de nature. Peu importe, les gens m’aimaient pour ce que j’étais alors, je n’allais pas changer.

Tu dois surement me trouver bizz non ?

Ouais, elle devait surement me trouver bizarre. Alors, pourquoi lui avoir posé la question ? Aucune idée… Mais bon, c’étais moi sa ; poser des questions inutiles.

Ah, merde ! C’est vrai, c’était mon tour de ronde aujourd’hui… J’avais complètement oublié cet énorme détail. J’étais à la fois soulager que c’était mon tour ce soir mais en même déçus… Parce que nos explications dureront moins longtemps alors les chances qu’elle sache mon secret diminuaient mais je devrais alors la laisser, m’éloigner d’elle… Je ne pourrais plus être en sa présence vue que je devais aller faire ma ronde… Juste penser que je ne pourrais pas passer toute la journée avec elle me causa un choc. Et aussi il n’y avait pas juste cela, il y avait aussi comment que je vais lui dire que je devais partir… Elle allait surement me demander ou j’allais et tout le reste… Et moi, comment allais-je répondre a ses questions ? Seth lui c’est quoi qu’il lui disait lorsqu’il devait aller faire ses rondes ? Olala… Si au moins j’aurais été qu’un simple humain !!! Tout ca ne serait alors pas autant compliquer ! Vraiment, la vie de Lycan nous compliquait la vie… Mais bon, je devais arrêter de m’apitoyer sur mon sort…

Je remarquais soudain qu’elle ne m’avait même pas dit merci pour le compliment que j’lui avais fait ! Pourquoi ? Peut-être que je l’avais vexé ? … Non, sa serais surement idiot de se vexer à cause que quelqu’un nous disait que nous étions magnifique non ? En fait, peut-être pas si idiot que sa… Parce que si elle se trouvait… Comment dire… Par exemple laide, ce qui est totalement faux ! Cela l’aurais vexée parce que… Même si la personne se pense laide j’peux pas comprendre pourquoi elle serait vexer… Mais bon, elle est une fille aussi… Et oui, les filles étaient difficiles à comprendre… Même des fois elles compliquaient les choses… Anyway… Ah !, peut-être qu’elle était juste gêner du compliment que j’lui avais fait alors elle n’osa pas me dire merci ? Cela était plus logique, d’après moi. En tout cas, je n’allais pas passer mon temps à me demander pourquoi elle ne m’avait pas dit merci. Elle devait surement avoir une bonne raison…

D’accord, j’vais bien t’aider à nettoyer tes sièges. Mais non parce que j’ai de culpabilité mais parce que j’aime bien travail sur des engins.

C’était vrai. J’aimais bricoler sur des engins que sa soit ; nettoyer, réparer, modifier… C’était ma passion quoi. Et aussi, c’était vrai que ce n’était pas par culpabilité parce qu’elle m’avait bien dit que cela ne lui dérangeait pas que je mouille ses sièges et que c’était juste SI moi j’avais trop de culpabilité.

Jacob entra enfin dans ma voiture et une bouffée d’air chaude fit part de sa présence. Pour une fois, je n’aillait pas être obliger de mettre le chauffage. Soudain, je repensa à ce baiser, sous l’arbre, la pluie battante près de nous. Pourquoi ? J’en n’avait absolument aucune idée, mais tout ce don j’était certaine, c’est que cette journée prenait de plus en plus un élan étrange et un semblant de déjà vue. Après m’avoir fait embrasser par un inconnu me voilà qui partait cher lui ? C’était complètement absurde et stupide. Vous pouvez me dire pourquoi je doit toujours agir en vrai innocente ? Avoir une vie normale ne m’est pas possible où quoi ? C’est à cause de mes réactions stupide de ce genre que je me suis faites… violée et me voilà qui refait les même absurdités. Si sa se trouvait, c’était le même genre de garçons que j’avait connue auparavant. Dans ma vie passé, que j’ai nullement envie de me remémorer. Je voie encore ses mains sales se balader sur mon corps, son visage carrée, avec ses yeux verts qui reflète si bien le désir qu’il a pour mon corps, mon corps fragile d’adolescente. À chaque foie que ces pensées hante mon esprit, je me sens souiller de nouveau. Depuis, j’aie peur des contacts trop physiques, surtout de la part des garçons. Ce qui me blesse énormément, c’est qu’il m’a voler la choses la plus précieuse qu’une fille peut posséder, sa Virginité. D’un sens, c’est comme si je ne l’avait jamais perdu puisque ce n’était pas vraiment une première fois, du moins, pas celle que j’aurait voulu. Et puis de toute façon, depuis cette nuit horrible, je n’ais jamais pu conclure avec un garçons. C’était étrange que je me remémore ces souvenirs, là, en présence de Jacob. Qu’avait t’il avec lui qui clochait !? Mon cœur battait de plus en plus vite, pas de nervosité ou d’angoisse, simplement de peine. Me rappeler ce garçons immonde ne me plaisait guère. J’avait envie de pleurer, ce n’était pas uniquement le fait qu’il m’aille violée, mais plutôt la suite de l’histoire. Soudainement, une question m’extirpa de mes pensées. Je me tourna vers Jake, à moitié consciente et dit, dans un souffle à peine audible

Humm... non non.. tu n’est pas bizzare...

Je paraissait absente, j’en était consciente. Mon visage devait trahir ma peine, mon chagrin, ma souffrance, comme si je venait de voir la mort. En fait, c’était presque le cas, sachant se que j’ai... Je suis un monstre. Je sentit mes yeux s’emplire d’eau tranquillement, je tourna la tête vers la fenêtre pour éviter que Jacob me voit. Sinon c’est lui qui m’aurait trouver bizarre et avec raison. Une fille qui se met à pleurer comme sa, en plein milieu d’une journée, avec un inconnu, c’était étrange et allait lui donner l’impression que je suis une fille extrêmement sensible qui se vexe à rien. Ce qui n’est pas totalement faux mais tout de même... Peu de temps après, il m’affirma qu’il allait m’aider, normalement, j’aurait sourit et l’aurait remercier, cependant, je n’était pas d’humeur joyeuse, bien au contraire... Alors je ne fit que murmurer doucement, en faisait bien attention que ma voix ne paraisse pas trop peinée

Merci..

J’inspira grandement, essayant de chasser mes réflexions désagréable, ce n’était pas le temps de penser à mon...cette...à la choses que... Enfin, ce n’était pas le temps point. J’y penserait plus tard si il le fallait, je pleurerait plus tard, me ferait des reproches plus tard et aura des idées suicidaire plus tard. Là, je devait nous conduire cher lui. Je fit un sourire, énormément forcé, me tourna vers la vitre principale, déposa mes mains sur le volant et démarra la voiture. J’essayait de me concentrer le plus possible sur la route pour être certaine de ne plus pensé à mes souvenirs atroce. Sans le savoir réellement, je serrait fortement les dents, je faisait souvent sa quand j’essayait de ne pas pleurer. Je commençait même à avoir un mal de tête, mais n’en fit aucunement part à Jacob.

Merci..

Sa voix sonnait comme si elle était peinée… Mais en + de ca, elle me fit un sourire qui ressemblait forcer. C’est quoi que j’lui avais fait encore ? Non mais, sa se voyait qu’elle avait quelque chose. J’étais con mais a ce point là, fallait pas exagérer ! Peut-être qu’elle avait vécue des moments dur et qu’elle les avait oubliée mais moi, et ma grande trappe, avait surement dit quelque chose qui lui avait fait rappeler ces moments là ?... Si c’était le cas, ce n’était pas vraiment d’ma faute. Comment pouvais-je savoir se qu’elle avait vécue auparavant ?

Sans que je m’en rende compte, la voiture avait déjà commencée à avancer et s’était déjà engager sur la route menant à la Push. Je tournais enfin la tête vers Vicky. Elle regarda devant elle, serrant la mâchoire comme lorsque Bella se retenait pour pleurer. Non. Quoi ? Elle avait envie de pleurer ? Mais pourquoi ? Sa devait vraiment être grave son affaire si elle avait envie de pleurer… Ou peut-être pas… Non mais, c’est que des fois, les filles pouvaient se mettre à pleurer pour rien, comme ca, sans aucune raison précise. Avant de lui demander ce qu’elle avait, je décidais d’essayer de percer tout seul ce qui la hantait comme ca. Je la regardais en fronçant les sourcils. Hmmm… Ouais, c’tait pas si facile que ca… Reprenant mon air normal, je décidais, plutôt, de lui poser la question.

Vicky, je sais qu’ont se connait à peine… Mais je sais qu’il y a quelque chose qui te tracasse tellement que tu a envie de pleurer. J’suis pas si con que ca quand même. Mais tu sais, tu peux tout me dire, j’le dirais a personne…

Okay, j’avoue que sa faisait bizz de dire ca, mais c’était vrai… Pourquoi irais-je me vanter de ce qu’elle avait ? Désoler, mais je n’étais pas se genre de mec. Mais elle, elle ne le savait pas…. Peut-être même qu’elle me prenait pour un maniaque. Un kidnapper. Un violeur !!! Peut-être qu’elle croyait que mon passe temps favori était d’enlever des filles comme elle et de les martyriser !? Que j’avais peut-être une salle de torture chez moi !?

Ma peau était devenue, presque, aussi blanche que celle des Sangsues. Ces pensées me rendaient tellement mal à l’aise. Et si elle pensait vraiment ca de ma part… Ma peau blanchissait de + en + a force de penser a tout ca… Devrais-je lui demander si elle pensait cela de ma part ou garder le silence et faire comme si rien n’était ?... Une grosse décision s’offrait à moi. Devrais-je me taire et la laisser penser –si elle le pensait- toute ces choses écœurantes sur moi ou bien lui demander et la rassurer que je n’étais pas comme ca ou si elle ne le pensait pas juste passer pour un mec bizz… Déjà que j’étais sûr qu’elle me trouvait bizz cela n’allait pas arranger mon cas…

Ouais… Heuuu… Vicky ?... J’voudrais pas passer pour quelqu’un de f*cker là… Mais… J’voudrais juste te dire que j’suis pas un… Bhen… Un… Maniaque ?... Bah, tu sais un fou, un obséder d’cul… Un violeur tsé… Que j’suis juste un gars de 16 ans qui habite à Forks, La Push dans une maison avec son vieux père… Alors ouais… voilà…

Je fixais, maintenant, mes pieds. Vraiment, je devais avoir l’air d’un pauvre con… Non mais, le plus pire n’avait pas été ce que j’lui avais dit mais bien d’la façon que j’lui avais dit ! Bordel ! J’avais eu l’air, d’après moi, d’un foutu attarder à la con !...

Je méditait sur la réponse que je pouvait lui offrir. Lui dire que j’avait été violée n’aurait pas été de très bonne circonstance. Après tout, il y a que deux seules personnes sur cette foutu terre qu’il le sait. Mon agresseur et ma meilleure amie, que je qualifie comme ma jumelle, ma twin. Celle qui sera toujours là pour moi, à n’importe qu’elle moment de ma vie. Comme elle la été quand j’avait voulu mettre fin à mes jours. Avec des raisons très valable, je devait l’avouer. Ce que j’ai fait ne se pardonne pas, c’est ma mère qui à choisis la meilleure décision en me gardant. J’aurait peut-être dû prendre exemple sur elle. Si ça aurait été le cas, j’aurait un enfant avec moi, là présentement. Un enfant suite à un viole certes, mais je l’aurait aimer. Comme ma mère là fait avec moi. Elle n’a pas eu la décision facile à prendre, gardez cette enfant, pas de père, un des six salauds qui l’a violer ou se faire avorter. Bien sur, elle à choisis de me garder. Moi, j’ai tuer cette enfants... J’ai tuer mon bébé...

Sur cette pensée, je retint mes larmes avec encore plus de difficulté. J’était vraiment un monstre pour avoir tuer une âme, une vie, un être… Un être qui aurait été celui la plus chère à mes yeux. Assurément celui que j’aurait aimé et chérie jusqu'à la fin de mes jours. Ce petit bébé qui aurait fait naître mon cœur, qui l’aurait fait battre à tout ces moindres gestes. Qui aurait remplis ma vie de joie. En quelque sorte, aurait crée ma chance à moi. Comme je n’est uniquement bénéficier de la poisse, mon enfant aurait été la preuve du contraire. Mais non, je l’ai tuer… Je suis tombé enceinte suite à un viole oui, mais nullement cette excuse pourrait être servit pour me pardonner.

Avant même que je ne puisse lui répondre quoi que ce soit, celui-ci ouvrit la bouche pour m’assurer qu’il n’était pas un....un.. violeur... Sur ces mots, mon visage se tendue et une fois de plus, les larmes montèrent à mes yeux. J’inspira profondément, je ne s’avait que faire. Je ne voulait pour rien au monde pleurer en ça compagnie. Si j’aurait pût, j’aurait fermer les yeux, mais comme je me devait de garder les yeux sur la route, je les laissait grand ouvert. Il fallait que je trouve une nouvelle tentative de fuite. Je devait me changer les idées, ainsi que les siennes.

Non...Non... je sait... tu n’est pas un..... Dit moi, tu à dit que tu avait 16 ans ???!!!! Tu rigole j’espère !?

Je forçait ma voix pour qu’elle soit aisément forte, d’un ténor normale. C’était impossible qu’il ai 16 ans alors que j’aurait dit qu’il en avait 20. C’était certain qu’il s’amusait à me rassurer en disant un âge, un faux. J’était dupe, certes, mais pas au point de croire pareille balivernes. Qui l’aurait crû d’ailleurs ? Voilà, j’avait réussit, enfin je ne pensait plus à mon passé, je m’attardait à d’autres détails minime. Au moins, ça me changeait les idées. Attendant de voir sa réaction, je continuait d’avancer vers La Push. Enfaîte, nous étions presque déjà arriver. Il fallait à tout prix qu’il me change les idées si je n’avait pas envie de rechuter dans mon cauchemars sur terre. Le cauchemars qui faisait de moi, un monstre.

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