Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 C'est pas l'heure de la prière ; Jordan *

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Joy S. Wilson
JoyI have habit to be malicious ; But so adorable .
Joy S. Wilson

Féminin
Nombre de messages : 246
Date d'inscription : 28/12/2008

* Vampire ?. Human ? Wolf ?
{ Nature:
{ Your Relations:

C'est pas l'heure de la prière ; Jordan * Empty
MessageSujet: C'est pas l'heure de la prière ; Jordan *   C'est pas l'heure de la prière ; Jordan * EmptySam 7 Fév - 20:55

    Samedi Soir . L'heure Tournait peu à peu vers les 22h00, tendis qu'il n'était pour l'instant que 9h10, ou du moins à quelque chose près . La miss, avait encore une fois échappée à la surveillance de ses parents, qui ne savaient plus comment faire pour comprendre leur fille et la faire écouter, malgré des multitudes d'essais et d'effort, le moral et l'envie y était plus . Joy, était après tout une adolescente et en cette période de vie, les familles, ont bien du mal à faire comprendre à leurs enfants les danger de la vie . La blondinette était sans doute, l'un des cas rares de gros changements de personnalité, aussi bien physiquement que mentalement, cela avait été radical . En deux ans blondie, n'était plus une gamine sage, sans protestation vis-à-vis de qui et quoi que ce soit . Inconsciente, la mistinguette ne semblait pas non plus prendre conscience, des nombreux actes, alarmants, qu'elle provoquait lorsque sa colère prenait le dessus, les paroles blessantes et sans scrupules qu'elle prononçait sans même le regrettait . Y avait-il de quoi s'inquiéter, par un tel comportement de la part d'une si jeune fille ? Sans doute, contestant d'écouter les nombreuses mises en garde de ses parents, cette dernière refusait aussi de parler du malaise, qui la rendait aussi agressive et peu respectueuse de jour en jour . Tendis, que la blondinette arrivait à un stade ou les paroles n'étaient plus assez importantes, pour se faire comprendre, Joy en est arrivait il y pas longtemps, aux coups, tellement mieux pour se faire respecter, lorsque personne ne vous écoute . La dernière victime en date, avaient été une fille d'à peu près son âge, voir à peine plus vielle qui n'avait fait que critiquée un proche de l'adolescente, qui ne pu supporter qu'on puisse se permettre de lancer des amas d'horreurs, concernant son entourage . Le ton commença, alors à monter entre les deux demoiselles, et ne sachant plus se maîtriser, la gamine jeta violemment la brunette contre un mur de pierre, la menaçant de ne plus jamais s'adresser de cette façon à elle-même . Le lycée, mis immédiatement au courant ses parents, qui du d'ailleurs venir chercher leur fille, avant qu'elle ne commettent d'autres actions plus graves qui pourraient la contraindre à être renvoyée quelques jours, voir définitivement de l'école . Et logiquement ses parents n'avaient pu s'empêcher de lui faire la morale, qui pour tout dire arriver chez elle, se changea encore une fois en règlement de compte familial, avouant ainsi le dégout profond, à l'égard de son paternelle .

    Ce dernier se mis alors, dans une rage folle, qui n'eut pas d'effet de regret sur la demoiselle qui au contraire se contenta de lui sourire ironiquement lui prouvant, qu'il n'avait plus aucune autorité sur elle, qu'il ne l'effrayait plus et qu'il pourrait toujours lui hurler dessus, voir même la frapper, rien ne changera, et il ne la ferait pas changer . Mais, ce calme de la part de sa fille, attendant de sa part des excuses, mis cet homme charismatique dans une rage folle, au point d'avouer à sa fille, que lui non plus ne l'aimait plus et ne la supportait plus, et qu'elle n'avait qu'à faire ce qu'elle voulait et avec qui elle voulait . Ainsi, cela semblait satisfaire étrangement Joy, qui lança juste un léger soupir à la figure de son père, puis un regard navré à sa mère en larmes assise à la table, observant la déchéance entre le père et sa gamine . C'était donc Vendredi soir, un jour de plus qui ne fut pas des plus heureux, bien au contraire .

    Puis, c'était samedi . Une fois encore le temps n'était pas au beau fixe, et malgré deux ans passés l'adolescente avait encore du mal à s y faire, étant à son tour une cause importante de son changement radical de caractère . Son père criait encore sur sa mère, essayant de lui bourrer le crane, en consentant, que s'il y avait un problème dans cette maison, c'était bien Joy et qu'elle devenait dangereuse pour tout le monde à présent . Cela, eu le dont de faire sourire la blondinette qui se trouva dans les couloirs, à écoutant la conversation nerveuse de ses parents . Sa mère ne disait rien, pour tout dire, elle était persuadée que sa fille manquait juste de repères, de marques, et qu'il lui faudrait juste un peu plus de temps pour s'habituer à sa ville, même si après deux ans les choses n'ont évoluée quand empirent . À son arrivée dans la cuisine, la miss ne fut pas accueilli des plus chaleureusement par son paternel, qui grogna légèrement lançant des brefs regards, à sa fille, comme si son but était de la provoquait, ainsi sa mère posa les deux mains sur les épaules de son mari, daignant de lâcher un sourire un peu forcé à sa fille . Malheureusement pour Joy, son père ne travaillait pas aujourd'hui ce qui voulait dire qu'elle devrait le supporter toute la journée, du mieux que possible . Et rien que cette pensée agaça la demoiselle qui ne pu s'empêcher de râlé, profitant que la gamine se mette en tord, son paternel prospéra des paroles à faire sortir l'adolescente de ses gongs de bon matin .


    Tu a que ça à faire de bon matin ? Râler ?!
    De quoi tu te mêles ? Je t'ai rien demander alors, occupe toi de fermer ta bouche !
    Tu me parles pas comme ça, ou je te tue, change de ton et dépêche toi !


    Un bruit sourd ce fit retentir quelques secondes après, Joy venait de laisser tomber volontairement son bol de chocolat au sol, près de son père par haine . Les yeux de Monsieur Wilson, n'avait jusqu'à ce jour jamais était aussi noirs, ses yeux se refermèrent doucement sur eux-mêmes, et sa mère, mis la main devant sa bouche, comme pour étouffer un hurlement . Mais, remarquant que son père était sur le point de la tuer, la blondinette partie se réfugiait en courant dans sa chambre, pouvant distinguait les paroles de son père, hurlant des amas d'horreurs, disant qu'elle était folle, qu'il ne voulait plus d'elle etc . Toutes ces crises auraient pour but de rendre un enfant malheureux, mais cela ne fut pas le cas de Joy, qui limitaient ses braillements par des coups, dans les murs . Puis, les heures passèrent et l'adolescente se contenta de rester dans sa chambre, ne faisant rien, elle apercevait le son de la voix de sa mère la suppliant de bien vouloir ouvrir sa porte afin de parler du petit incident et de tout, la miss refusa tout dialogue avec qui que ce soit, ne souhaitant pas parler d'elle, comme d'un animal dont le comportement n'est bon qu'à finir à l'abattoir . Comprenant, que sa fille n'avait rien à lui dire et que ne lui ouvrirait pas, sa maternelle revenait alors, que pour demander à sa fille de descendre au moins pour le repas à 8h00 . Mais, 8h30 était déjà passé que la gamine n'était toujours pas venue . Ne supportant plus de rester enfermé seule, dans sa chambre, dans un endroit aussi peu espacé, la demoiselle pris la porte sans ne rien demander à personne, pour aller se réfugier au plus loin de chez elle .

    C'est dans les alentours de 9h00, que Joy se stoppa quand elle arriva devant l'église, cette fois-ci, sa destination avait été calculée, c'est ici que cette dernière voulait venir . N'étant pas vraiment croyant, la miss avait eu besoin de se réfugier quelque part, où elle était sûre que ses parents ne puissent se douter d'où elle avait encore pu fuir . Bien, que ce genre de lieu, ne soit pas du style de l'adolescente, elle y trouvait ainsi le calme, là où personne ne pourrait lui dire quoi faire, ou les provocations n'auraient pas lieu d'être, normalement . S'avançant lentement au milieu des bancs en boit disposés un peu partout, la gamine garda les deux mains dans les poches avant de son jean, habillée d'un haut noir aussi sombre que le maquillage autour de ses yeux, et ses cheveux attachés en couette tombèrent légèrement dans son cou . Sa marche lente cessa finalement, quand cette dernière arriva à la hauteur d'une table où quelques bougies tentaient, tant bien que mal d'éclairer l'endroit aussi assombri qu'il était .
Revenir en haut Aller en bas
https://twilight-legend.forumactif.org
Jordan Nicholson

Jordan Nicholson

Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 03/02/2009

* Vampire ?. Human ? Wolf ?
{ Nature: Wolf...-_-'
{ Your Relations:

C'est pas l'heure de la prière ; Jordan * Empty
MessageSujet: Re: C'est pas l'heure de la prière ; Jordan *   C'est pas l'heure de la prière ; Jordan * EmptySam 7 Fév - 23:01

    Elle me rend dingue, j'ai beau écarter sa chevelure de ma main je ne vois toujours pas son visage. Elle ne veux pas que j'aperçoive ses yeux, son nez ou sa bouche si parfaitement dessiner. Une main sur sa hanche et l'autre au creux de ses reins, je la tiens contre mon torse, je veux seulement qu'elle me fasse confiance et qu'elle ne me craigne pas. Cela me fait mal de la voir comme cela, Pourquoi ? Tout simplement parce que je ressens tout le mal que je lui es fait, j'ai honte, tellement honte... Pourtant, je n'arrive pas à s'avoir pourquoi. Sans que je ne mis attendre elle posa sa main sur mon torse et me repoussa assez fortement. Je pourrais la garder contre moi à ce moment-là, mais mes forces m'on abandonnés, je ne peu pas me battre contre elle j'en suis incapable, oui je suis faible, un lâche, je ne la mérite pas et c'est tout. Ma main avait remonté sur son épaule et entamais alors une descente sur son bras, j'arrive à sa paume de main que je caresse doucement du bout des doigts, elle me quitte, me laissant seul dans la pénombre. Mon bras retombe lourdement au côté de mon corps. Reviens, ces mots son emprisonner dans ma gorge, je n'arrive plus à parler, mon univers est bouleversé. Mon regard est posé sur son dos, elle se retourne me faisant face. Elle tant la main vers moi me fessant signe de m'approcher. Mais que fait-elle ? Elle veut partir, mais pourtant elle me demande de venir, apparemment elle a choisie une autre fin. Elle à les mains derrière son dos, cachant quelque chose de brillant. Arriver devant elle je ne vois toujours pas son visage, toujours cacher par cette couche de cheveux ondulé. J'attrape sa nuque d'une main pour la rapprocher de moi et posa alors mes lèvres sur les siennes, elle ne me repousse pas ce qui est un grand soulagement. Seulement, je sens une douleur vive à la poitrine. Je la repousse légèrement et posais ma main entre mes pectoraux, un liquide tiède s'écoule alors de ma plais. J'écarte ma main et la regarda, il y a du sang qui orne mes doigts ainsi que ma paume, sur le sol où je me trouve on peu remarqué une immense marre de sang. Ma tête tourne, j'ai l'impression que je vais mourir, l'entaille qui recouvre mon torse est profonde. Mais comment est-elle apparue ? Je relève la tête et regarde celle que j'embrassais il y a quelques minutes. Elle affiche un sourire malsain sur le visage dans une main elle a un couteau dorée avec une lame bien affûter, dans le creux de sa main gauche se trouve un objet qui met précieux, elle me la dérobé, voler... mon coeur.

    Je me réveille alors en sursaut. Où suis-je ? Mes yeux se risque à scruter les environs, je n'y voit que des arbres. J'essaie de me lever, je suis déjà debout. Oui, j'était dans ma peau de loup. J'était immense et imposant, ma fourrure aubaine se fondait dans la noirceur de la nuit. Seule mes petits yeux écarlate était discernable. À peine déjà debout sous ma forme lupine que je repris ma forme humaine. Je ne voulait pas que le reste de la meute épies mes pensées qui porterons sur le rêves horrible dont je venait d'être témoin. Avant tout, je jeta un vif coup d'oeil sur mon corps, j'était nue. Étrangement, comme si j'avait tout prévue à l'avance, une pile de vêtements propre siégeait près de mes pieds. Je les attrapa d'un geste fluide et rapide avant de les enfiler. Je portais une camisole blanche et un pantalon plutôt grand, arrivant un peu en dessous de mes fesses. Je commença alors une marche dès plus tranquille en direction de Forks. Mais que voulait dire mon rêve, ou qui devrait plutôt porter le nom de cauchemar. C'était d'étrange pensées que cela me donnait. Comment avais-je pût rêver à de pareilles absurdités ? Comment une fille, aussi banal et simple sois t’elle, aurait pût me rendre à se point vulnérable ? Les humaines n'on rien pour elles, si ce n'est que je peux m'imprégner d'une d'elles. Et puis de toute façon, l'imprégnation n'est qu'une invention purement imbécile. Ce n'est qu'une façon de nous faire peur d'avantage. Déjà que nous devons supporter les pensées de tous et chacun, je ne me voit en mesure de supporter une petite humaine fragile. Un être qui serait, vue sa faiblesse, à l'affût de tout danger. Un être que je serait obliger de protégé. Beurk, juste à cette pensé, je failli vomir. Soudain, une grande affiche signalant la frontière de Forks apparus sous mes yeux. J'était donc sortit de la ville ?! Mais qu'avais-je fait hier soir ? Bizarrement, je ne me rappelait de rien, comme si mon cauchemar avait occuper mes pensées et que plus rien d'autres ne pouvait faire surface. Peu importe, je suis tellement incurieux que cela m'était égale.

    Cherchant un endroit calme et serein où je pourrais allez, j'opta pour l'église. Jamais je n'avait vue quelqu'un y allez un samedi soir. J'allais donc être tranquille. Augmentant la vitesse de mes pas, sans courir ou jogger cependant, je me dirigea vers l'église. Je fus rendu en quelque minutes. Poussant les grandes portes en bois avec le moins de bruits possible, j'entra à l'intérieur. Il faisait énormément noir, il n'y avait que quelques bougies qui éclairaient l'endroit plutôt sombre. De mes yeux je contemplais les multiples vitraux latéral sur les vieux murs. Je commença à avancer, puis soudainement, m'arrêta net. Une fragrance humaine vint chatouiller mes narines surdéveloppé. J'aurait aussi bien pût quitter maintenant, mais en avait pas envie. Je continua à avancer de mes pas qui se voulait à peine audible. Maintenant à deux mètres de la silhouette féminine devant moi, j'était persuader qu'elle ne m'avait pas entendu venir. Mon corps ne bougeait plus, je ne faisait que la fixer. Elle ne me voyait point, j'était dos à elle. J'entendait son petit coeur humain battre ainsi que le mien démesuré face au sien. Mon coeur battait beaucoup plus vite. J'était évidemment plus grand et imposant qu'elle, une seule de mes mains aurait suffit pour engloutire les siennes. Je la détestait, elle était humaine. Je ferma alors mes yeux pour me concentrer sur ma respiration. J'aimait le son, non percevable pour un humain, calme et relaxant de celle-ci.
Revenir en haut Aller en bas
 

C'est pas l'heure de la prière ; Jordan *

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Jordan Nicholson

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: && - FORKS :: { L'Eglise-